A quand la prise de conscience collective ?

On n’en est pas à l’heure du bilan, mais, on n’en est pas très éloigné… Enfin pour moi, la messe est dite depuis très longtemps, depuis trop longtemps !...

 

Pour celui ou celle, qui prend la peine de lire la page entière, la prise de conscience de l’état d’urgence dans lequel on se trouve depuis de nombreuses années au niveau de l’EAU me paraît évidente !...

 

Et là, je vais dépasser mon rôle de simple « pêcheur » et m’exprimer en tant que citoyen conscient de son environnement et de sa qualité de vie.

 

1 – J’en ai marre d’interpeller à tout va sur l’irresponsabilité des pouvoirs publics.

2 – Cela fait plus de 50 ans que l’on détruit les milieux naturels.

3 – Je me fous complètement de l’intérêt économique dont on me rebat les oreilles sans arrêt.

4 – J’ai peine à croire que l’être humain soit doué d’intelligence. Doué pour se détruire par cupidité, là j’en suis certain !!!

5 – Il devient urgent de protéger nos ressources naturelles au lieu de les surexploiter.

 

Alors, voici ma conclusion au niveau tout simple du bassin versant dans lequel j’essaie de survivre !...

 

- Adapter les cultures au milieu.

 

- Ne pas croire aux ressources inépuisables.

 

- L’eau n’est pas « objet » d’agrément ou d’ornement.

 

- Le réchauffement climatique n’est pas une illusion mais une vérité.

 

- Arrêter de contrarier les cycles naturels.

 

- « La Terre n’appartient pas à l’homme, c’est l’homme qui appartient à la Terre » (Sitting Bull)… Et j’ajouterais modestement… C’est le tribu que l’on paie aujourd’hui !...

 

Et puis, je n’ai pas envie que ma région devienne un désert… J’ai horreur du vide !...

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